Pays de Fayence: le patrimoine

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  • L'église paroissiale, date de 1685 : elle conserve des reliques de Saint Donat et de Sainte Maxime. Son abside ornée d'un autel monumental, est éclairée par de magnifique vitraux anciens fort bien restaurés. Dans les bas-côtés, les retables sont d'époques diverses et on peut admirer de nombreux ex-voto, Le bénitier est fait d'une pierre tumulaire. Mais c'est surtout le clocher octogonal recouvert de tuiles vernissées qui rend célèbre cette construction.
  • Le château féodal qui domine le village a été édifié à partir du XIIè siècle, tours des XIIè et XIIIè siècles. Par la suite, il appartint à plusieurs familles après les seigneurs de Grasse, à savoir les Villeneuve, les Raffélis Brovès, les Lyle-Taulanne avant d'être mis à sac en 1792, puis racheté et magnifiquement restauré au XXè siècle (privé, ne se visite pas).
  • Chapelles:
    • La chapelle des Pénitents date du XIIè siècle. Cet édifice de style roman servit d'église paroissiale jusqu'au XVIIè. Récemment restaurée, elle abrite des expositions de bonne facture.
    • La chapelle de Notre-Dame des Roses, située dans la plaine, en face de l'ancienne gare (privée), est en réalité la première église du village; elle fut détruite en 1391. Elle a été bâtie sur des restes de constructions romaines. Elle est aujourd'hui rénovée (vue sur le village).
    • La chapelle Saint-Donat, de taille imposante, est située au fond du vallon de Mailla est actuellement en cours de restauration.
  • Lavoirs
    • à l'entrée du village venant de Fayence
    • dans la descente
  • Village: rues pittoresques en colimaçon avec des escaliers surprenants donnant accès à de belles demeures.
  • Cimetière : tombes de Juliette Adam, Christian Dior et Nadia Léger
  • Ruines d'une abbaye de femmes, près du pont de la Camiole.
  • Aqueduc romain.
  • Moulin à olives, de 1815.
  • Réserve de Fondurane. Située au fond d'un des bras du lac entre Fondurane et Saint-Martin de Serminier, cette réserve de biotopes de 34 hectares, à cheval sur Montauroux et Callian, destinée à permettre la reproduction des poissons et des oiseaux est accessible par automobile mais nécessite un très grand respect de l'environnement de la part des visiteurs.
  • Itinéraire de visite proposé
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  • Église paroissiale; elle fut édifiée à partir de 1738 et dédiée à Notre-Dame et Saint Jean-Baptiste; elle offre de magnifiques fonts baptismaux.
  • Chapelles :
    • Notre-Dame des Cyprès; sa construction s'est échelonnée sur plusieurs siècles (du XIIè au XVè )
    • Chapelle Saint-Roch au coeur de la vieille ville.
  • La vieille ville offre au visiteur de belles ruelles ainsi que des constructions pittoresques.
  • En montant vers l'ancien château des évêques de Fréjus, on découvre un portail du XVIIè siècle (2 rue Louis-Blanc), les remparts (porte au n°5 de la rue du Château), une tour de guet et la tour de l'horloge. Du sommet on peut jouir d'un magnifique panorama sur la plaine et le massif de l'Esterel (table d'orientation).
  • En aval, les rues sont étroites, pentues et tortueuses.
  • La mairie et son porche ouvert au milieu du siècle dernier, lors de la construction de la route départementale vers Mons sont une image remarquable de la cité,
  • La Porte sarrasine doit son nom à la herse, ou sarrasine, qui servait à la fermer, technique importée d'Orient après les Croisades. Sur la Bari de Saint-Clair, le crieur public annonçait les nouvelles.
  • Rampes et place Thiers offrent une activité agréable aux touristes.
  • L'éco Musée du pays de Fayence.
  • Auteurs du pays de Fayence
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  • Remarquable point de vue de la place Saint Sébastien, sur le massif de l'Esterel, de Fréjus à Cannes et les îles de Lérins (table d'orientation et longue vue).
  • Eglises : la première église (au coeur du vieux village) date du XIr"' siècle et a été restaurée par un particulier (ne se visite pas). Le cimetière s'étendait alors à l'emplacement du petit jardin public sis devant cette construction.
  • L'église actuelle (demander la clef à madame Rolland, Portes seigneuriales, et document à l'entrée dû à D. Solakian), dédiée à sainte Marie, a été construite à partir du XIIè siècle et agrandie à plusieurs reprises, au XVè et au XVIè (chapelle Saint-Joseph). Remarquer les arcs doubleaux, la voûte en berceau brisé et les croisées d'ogives du bas-côté. Le clocher a été rehaussé en 1725. Il est paré de trois cloches : la plus ancienne, 1488, baptisée Vénus porte une inscription latine : "Mais lui passant à travers leurs rangs, poursuivit sa route, saint Luc". La seconde, datée de 1535 et dénommée Musane, est gravée ainsi: "Au nom de jésus, tout genou fléchit aux Cieux" et la troisième, la plus grosse (1,10 m de diamètre) se nomme Marie-Anne Salvaterre et fut montée là en 1601; elle porte le nom "Christ vainc règne, gouverne et rudoie le diable".
  • Mais ce que le visiteur se doit de découvrir dans l'église, outre les deux croix processionnelles d'excellente facture (une est du XV11è.) et les 4 retables de bois polychrome consacrés à saint Joseph, saint Antoine, N.D. du Rosaire et aux âmes du Purgatoire (restauré en 1987), c'est le maître-autel placé sous le vocable de la Vierge Marie, paré des saints Pierre et Paul, datant de 1680. Chef d'oeuvre de l'art baroque, conçu en triptyque à étages (redoré en 1860), il s'orne de quatre colonnes torsadées finement décorées, supportant un fronton couronné d'anges musiciens.
  • Vieux village aux ruelles étroites et portes seigneuriales et sarrasines : Châteauvieux (plaque explicative apposée en 1990, lors de la commémoration du quatrième centenaire du siège de la ville, par la population qui monta à cet effet un remarquable spectacle son et lumières.
  • Petit musée "Marine et montagne", rue Pierre-Porre, où Robert Audibert, lauréat de la Fondation de la vocation, construit d'originales maquettes de navires en allumettes.
  • Chapelles :
    • Saint-Laurent ou Saint-Roch (route de Fayence) a longtemps servi d'abri aux passants surpris par le mauvais temps. Messe le 16 août.
    • Notre-Dame (sortie sud-est du village), ancienne station pour les processions et dépositoire pour les morts de la campagne, a été restaurée en 1950. De son parvis, remarquable vue sur le village. Procession le 15 août.
    • Saint-Pierre (résidence privée, ne se visite pas) sur le chemin de Riens. En face, découvrir l'oratoire Saint-Pierre récemment rénové. La procession le dernier dimanche de juin est devenue le prétexte d'une fête au village en souvenir des romérages des pêcheurs de Saint-Raphaël.
    • Saint-Sébastien ou des Pénitents Blancs (vers 1600) (clef en mairie). Transformée en partie en mairie, on peut cependant découvrir à l'arrière un remarquable retable de 1713 et 2 stèles gallo-romaines découvertes sur la commune,
    • San-Peire et Sainte-Roseline (chapelles privées sur le domaine de Beauregard).
  • Dolmens
    • Peygros,
    • Marcellin (accès interdit, terrain militaire),
    • Saint-Pierre,
    • Les Collets,
    • Plan de la Colle,
    • ubac des Bramées
  • Sources de la Siagnole et Rochetaillée, en contrebas du village, à une minute de la départementale 56_ A l'est du village : cascade de la Pare (ou de la Pale).
  • Château de Beauregard (privé, ne se visite pas), édifié au XVI"' siècle, est une grande demeure carrée à deux étages, flanquée de 4 tours rondes terminées en poivrières et couvertes de tuiles roses. Une tour carrée à 4 pans avec un faîteau au sommet, domine la toiture de la bâtisse.
  • Sur la gauche du château s'élève une petite chapelle dédiée à sainte Roseline, où sont inhumés les propriétaires, toujours la même famille depuis sa construction. La chapelle est reliée au château par une orangerie et un jardin à la française dû à Lenôtre. II représente une croix de Malte en buis, en souvenir de Helion de Villeneuve, grand maître de l'ordre de Malte au XIVè siècle et frère de sainte Roseline, morte en 1329.
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  • Eglise paroissiale dédiée à saint Barthélémy: le bâtiment actuel, restauré en 1691, comme le prouve notamment la porte murée de la façade, daterait du XVè siècle. Le tableau (XIXè) offert par la reine Marie-Adélaïde représentant l'Assomption de la Sainte-Vierge est de Le Cerf, d'après une oeuvre de Murillo. L'inscription en façade sous le cadran solaire signifie : la dernière est inconnue, crains-là. Elle date de 1859, tout comme la fresque du choeur représentant les quatre évangélistes et saint Barthélémy, due à Coste et Galli, deux artistes niçois. La cloche la plus ancienne date de 1724 et on peut lire, gravé dans son bronze, Maria Salvaterra,
  • Chapelles:
    • Saint-Barthélémy (1639) : remarquables peintures sur panneaux de bois exécutées par les pénitents. Le tableau du maître autel représentant saint Barthélémy et la Sainte Vierge et le retable datent de 1748. A noter que plusieurs personnalités sont inhumées sous son dallage et, en particulier, le dernier co-seigneur de Montauroux, César de Grasse, mort en 1641. Pour visiter cette chapelle restaurée par Christian Dior, demander la clef au S.I.
    • Saint-Michel, en contrebas du village, dans un magnifique site forestier, est mentionnée dès 1040. Notre-Dame, à la Colle de Narbonne, encore utilisée jusqu'en 1875, est aujourd'hui en ruines.
    • Notre-Dame d'Embrian, à Tournon (en ruines, sous le lierre, derrière la bâtisse, privée).
  • Château de Tournon, à l'intérieur du domaine actuel (privé)
    • Sur un rocher à pic au-dessus de la Siagne, défigurée par une ligne à haute-tension, (accès depuis la D. 2582), il nous reste une haute tour crénelée du château de Tournon à laquelle on n'arrive que par un sentier étroit et fort raide, construit en maçonnerie. Près de cette tour s'ouvre un souterrain qui faisait jadis partie d'une forteresse presque inaccessible.
    • Le lac de Saint-Cassien occupe 430 hectares dont une partie sur la commune et s'inscrit parfaitement dans le paysage boisé, où le vert des chênes et des pins est égayé par l'or des mimosas, par les fleurs des cistes et des bruyères. Il importe de préserver de la pollution ses eaux calmes, aux reflets variant avec la luminosité du ciel. Sur les rives se trouvent plusieurs restaurants et commerces de location d'embarcations, de matériel de pêche ou de baignade. Rappelons cependant que ce lac est une retenue d'eau E.D.F. et qu'en conséquence la baignade y est dangereuse en raison des prélèvements possibles d'eau et des écopages des avions Canadairs. Classé en 2ème catégorie pour la pèche, il est ouvert toute l'année (sauf pour le carnassier fermé de février au premier samedi d'avril).
    • Réserve de Fondurane, située au fond d'un des bras du lac entre Fondurane et Saint-Martin de Serminier, cette réserve de biotopes de 34 hectares, à cheval sur Montauroux et Callian, destinée à permettre la reproduction des poissons et des oiseaux, est accessible en automobile mais nécessite un très grand respect de l'environnement de la part des visiteurs.
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    • L'église consacrée à l'apôtre Paul date du XIXè siècle. La petite statuette en bois, située au-dessus du portail, a donné naissance à une légende. On sait que pour des raisons naturelles, Saint-Paul est en quelque sorte protégé des orages d'été alors qu'ils claquent avec violence sur Fayence et sa région. Pour les Saint-Paulois cette protection venait de leur patron et ils s'agenouillaient chaque fois que l'orage ou une autre calamité de ce genre menaçait. Les Fayençois volèrent ce palladium, mais le saint-apôtre déclencha un si terrible orage au torrent de Roumier qu'il fut impossible aux ravisseurs de partir avec la statuette et qu'il ne leur restait plus qu'à faire demi-tour et à rendre son protecteur à la communauté, qui se prosterna devant tant de sollicitude
    • Chapelle Saint-Joseph, sise au sommet de Penconillier, consacrée par Gaucelme, évêque de Fréjus en 1030, a longtemps servi d'église à la communauté religieuse de Saint-Paul.
    • Château de la Verrerie.
    • Château du Qeyland.
    • Lac du Rioutard : plan d'eau de 6 hectares à 1,5 km du village, (accès depuis le carrefour D 562 et D 56 et depuis le village).
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    Le village peut se découvrir depuis la route de Mons ou depuis les chapelles des Ormeaux et de Saint-Cyr.

    • Château féodal (privé, ne se visite pas) . Il correspond à un ancien castellaras ligure, sur lequel sont édifiés les premiers murs au IVè surélevés par les Sarrasins. Le donjon daté du XIè siècle enserre des bâtiments plus récents.
    • L'église Saint-Léger de facture romane date du XIè01e siècle. L'entrée sur le Valat a été percée au XIII et les voûtes ont été refaites au XVI e. Elle abrite deux beaux retables et un magnifique triptyque peint sur bois représentant le couronnement de la Vierge et les saints Jean, Bartholomée et Laurent. Le bénitier a été offert en 1491 par Andréas, comte de Vintimille, prieur et coseigneur de Seillans.
    • Vieille ville: la place du Thouron et sa fontaine toujours fleurie, l'ancienne chapelle des Doctrinaires, qui avait un collège dès 1634, la rue de la Boucherie, le haut-four, la porte sarrasine et la Fontaine d'Amont, les callades et les rampes, les artistes qui essaiment dans les ruelles incitent à la flânerie et à la découverte de ce magnifique village.
    • Chapelles : Notre-Dame de l'Ormeau date du XII"' siècle et présente un style gothique appréciable, ainsi qu'un retable en bois polychrome daté de 1574 (documentation au S.I.), qui serait l'oeuvre d'un moine italien. De facture Renaissance avec des influences flamandes, il présente en son centre l'arbre de Jessé, dont les personnages dorés sont sculptés dans un seul bloc de bois. La chapelle abrite également un cippe romain, qui découvert en 1885 et fort bien expliqué par M. Sénéquier, porte l'inscription , C. Coelio C.L. Severo Seviro Coeliae C. L, jucundae conjugi», signifiant ' A Caius Coelius Severus, affranchi de Caius (Coelius) Seoir et à Coelia Jucunda, affranchie de Cais (Coeliu, son épouse. On trouve également un tableau de maître et de nombreux ex-voto.
    • Notre-Dame des Selves, près de Brovès-en-Seillans a un pélerinage le 15 septembre (lavoir, puits et oratoire tout proche) et offre un havre de paix et de tranquillité en tout temps. La fête annuelle est d'importance avec un aïoli nonstre.
    • Saint-Cyr, fête en mai ; Saint Julien et Saint-Arnoux, près de la D19, ainsi que l'oratoire de Sainte-Brigitte.
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    • Eglise de Peygros : elle vaut par son esplanade d'où l'on découvrait un point de vue remarquable sur l'Esterel (maintenant bouché par une maison construite depuis), les péalpes de Grasse, le massif des Tanneron et par un rcmarquable triptyque peint par Madame Sarciron Pommier, offert à la commune en 1991. Le triptyque de Notre-Dame de Tanneron (2.40 par 1,85 de haut, se compose d'un tableau central consacré à la vièrge en majesté en majesté à l'enfant Jésus. Le volet de gauche est dédié à Saint-Antoine de Padoue représenté un livre en main, car surdoué, d'une maîtrise théologique et scripturaire exceptionnelle. Le volet de droite est consacré à Saint-Cassien, représenté en anachorète coiffé du capuchon, brodé de croix, tenant dans sa main auclir un parchemin, où et inscrit "Dieu est amour", resumant l'enseignement de ses écrits et dans sa main droite la plume de l'écrivain.
    • Chapelle de Saint-Cassien des Bois, construite au XIIè11B siècle sur le lieu de franchissement de la Siagne. A proximité, au-dessus de la route, charmant petit cimetière.
    • Tour quadrangulaire, à Saint-Cassien (accessible depuis la route), ruines d'un ancien château fortifié, édifié au XIè11e siècle, servant tout à la fois de forteresse et d'hospice, étape pour les voyageurs et autres pèlerins de Compostelle.
    • Blocs de rochers, appelés ici Baou Redoun, ou la Chèvre d'or. Blocs de rochers se trouvant à gauche du chemin reliant la Théoulière à la Glacière.
    • Le lac de Saint-Cassien occupe 430 hectares dont une partie sur la commune et s'inscrit parfaitement dans le paysage boisé, où le vert des chênes et des pins est égayé par l'or des mimosas, par les fleurs des cistes et des bruyères. II importe de préserver de la pollution ses eaux calmes, aux reflets variant avec la luminosité du ciel. Sur les rives se trouvent plusieurs restaurants et commerces de location d'embarcations, de matériel de pêche ou de baignade. Rappelons cependant que ce lac est une retenue d'eau E.D,F. et qu'en conséquence la baignade y est dangereuse en raison des prélèvements possibles d'eau et des écopages des avions Canadairs. Classé en 2r° catégorie pour la pêche, il est ouvert toute l'année (sauf pour le carnassier, fermé de février au premier samedi d'avril). L'EDF organise des visites guidées du barrage de SaintCassien. Se renseigner en téléphonant en mairie.
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    • Le dolmen de Verrerie-Vieille, à proximité de la D 56, au lieu-dit Le Jas de la Maure, disparaît malheureusement sous les herbes folles et sa découverte est décevante.
    • Tour de l'Horloge, vestige du premier château de la famille de Villeneuve, détruit en 1590 par les Fayençois (magnifique point de vue sur la plaine et le village).
    • Eglise Saint-Martial et Saint-André, édifiée en 1010 rénovée en 1504. L'entrée principale dans l'unique nef se fait par le côté droit. Mais on entre couramment par le fond du bâtiment avec accès au 1er étage. Remarquez le clocher excavé pour laisser passer un escalier donnant accès à la place de l'église.
    • Plaque, place de la Mairie, en souvenir de Marius Aubin. En vous promenant dans les rues, découvrez de magnifiques cadrans solaires, une fontaine surmontée du buste de Marianne.
    • Château du Puy, (appartements privés) : a été édifié à partir de 1830 par le général Alexandre Fabre, en souvenir de son séjour en Russie, château qu'il voulait être une réplique de l'Ecole des cadets de Saint-Pétersbourg (point de vue sur le village).
    • Chapelle du Cavaroux, gardienne du cimetière, appelée aussi chapelle des Pénitents, construite au XV° siècle. Présence de deux croix de mission de 1601 et 1602 et du monument aux morts à proximité.
    • A 300 mètres à l'est, ruines d'un vieux moulin sur le Chautard.
    • Les ruines du village de Velnasques se découvrent à pied (ou à cheval) dans la forêt, lors d'une agréable promenade.
    • A Font-Bouillen, source périodique, qui coule et disparaît alternativement pendant plusieurs années. Elle se trouve près des ruines de l'aqueduc, qui conduisait à Fréjus les eaux de la Siagnole.

    Mis en ligne le 11/04/2009 par Pierre Ratcliffe. Contact: (pratclif@free.fr) Portail: http://pratclif.com